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suisse

  • Le foisonnant persil de Suisse romande

    revue, Le Persil, francophone, suisse, roumanie, marius daniel popescu, jean-pierre longreLe Persil Journal n° 206-207-208, février 2023

    Près de Lausanne pousse toujours un florissant Persil, « journal inédit », c’est-à-dire composé uniquement de textes nouveaux. Le numéro de février 2023 donne « parole et silence » à des auteurs de Suisse romande, à commencer par Raluca Antonescu (comme Marius Daniel Popescu originaire de Roumanie, et autrice francophone confirmée), avec un extrait de L’aile nord, où la protagoniste, embauchée comme femme de ménage dans un hôtel, subit de drôles de relations avec les chambres qu’elle entretient, « coincée dans [une] absurdité implacable. » L’auteur « invité », Jacques Gélat, écrivain et scénariste, propose à la fin du numéro un récit au centre duquel l’abandon (maternel) et le désir de meurtre (filial), le manque d’amour, la velléité de vengeance et « le passage du temps » donnent sa puissance à l’écriture.

    revue, Le Persil, francophone, suisse, roumanie, marius daniel popescu, jean-pierre longreEntre les deux, le foisonnement que l’on attend toujours du fameux journal grand format. Des proses réalistes ou non (Karine Yakim Pasquier, Odile Cornuz, Pauline Desnuelles, Philippe Veuve, Dania Miralles, Cornélia de Preux, Juliette Dezuari), du théâtre (Philippe Jeanloz), de la poésie bardée de citations (Marie Patrono, Anicée Willemin), des poèmes tendance haïkus (Philippe Fontannaz), des proses et des vers en alternance (Maud Armani)… Le tout est ponctué par un « Voyage en Suisse » photographique de Patrick Gilliéron Lopreno et par des lignes ambulantes de Marius Daniel Popescu en personne !

    Trois numéros en un, beaucoup de belle matière, beaucoup de branches, beaucoup de feuilles – encore un Persil à dévorer.

    Jean-Pierre Longre

    Le Persil journal, Marius Daniel Popescu, avenue de Floréal 16, 1008 Prilly, Suisse.

    Tél.  +41.21.626.18.79

    www.facebook.com/journallitterairelepersil

    E-mail : mdpecrivain@yahoo.fr

    Association des Amis du journal Le persil : lepersil@hotmail.com

  • Persil de printemps

    Le Persil n° 196-197-198, mars 2022, et 199-200-201, printemps 2022

    Revue, Le Persil, francophone, Suisse, Roumanie, Daniel Rothenbühler, Grégory Rateau, Sorin Dananae, Marius Daniel Popescu, Jean-Pierre LongreSous la houlette de l’infatigable Marius Daniel Popescu, deux numéros triples du Persil ont récemment vu le jour.

    L’un (printemps 2022), coordonné par Daniel Rothenbühler, est consacré à l’Institut littéraire suisse, situé à Bienne, qui forme des étudiants à la création littéraire sous tous ses aspects et dans toutes ses composantes, avec « trois traits caractéristiques » : « le mentorat, le bilinguisme et l’interdisciplinarité. » Les articles et entretiens présentés ici (dont le premier entre Marie Caffari (directrice de l’Institut) et deux enseignants, Samuel Moser et Daniel Rothenbühler, sont complétés par cinq textes choisis lors du concours des « Lectures-Rockhall-Lesungen » organisé par le Forum Rockhall, association bilingue soutenant l’Institut. Textes de Aleks Sekanié, Giuletta Mottini, Nora Osayuki Osagiobare, Sarah Marie et Tristan Schenken.

    Revue, Le Persil, francophone, Suisse, Roumanie, Daniel Rothenbühler, Grégory Rateau, Sorin Dananae, Marius Daniel Popescu, Jean-Pierre LongreLe numéro précédent (mars 2022) « contient des textes inédits d’auteurs de Suisse romande », en prose ou en vers : Corinne Desarzens, François Hüssy, Philippe Veuve, Emilie Bilman, Jean-Luc Dépraz, Fiorenzino Iori, Esther Sarre, Vincent Yersin, Véronique Emmenegger, Adrian Rachieru, Matthieu Ruf, Valérie Gillard. Les dernières pages accueillent la poésie de deux invités : Grégory Rateau, qui est entre autres rédacteur en chef du Petit Journal de Bucarest, et Sorin Dananae (texte traduit du roumain par Marius Daniel Popescu). Depuis la Suisse, Marius Daniel Popescu reste toujours fidèle à sa Roumanie natale…

    Jean-Pierre Longre

     

    Le persil journal, Marius Daniel Popescu, avenue de Floréal 16, 1008 Prilly, Suisse.

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  • Souvenirs choisis

    Marius Daniel Popescu, Le Persil n° 187, juin 2021

    revue, autobiographie, francophone, suisse, roumanie,  le persil, marius daniel popescu, jean-pierre longre Marius Daniel Popescu, dans un élan permanent d’altruisme littéraire, ouvre habituellement les pages de son Persil à toutes sortes d’écrivains, de Suisse romande ou d’ailleurs, confirmés ou débutants, connus ou méconnus. Une fois n’est pas coutume : le numéro 187 est consacré uniquement à des textes inédits de sa propre plume. Et l’on n’est pas déçu. Dans la ligne de La symphonie du loup et de Les couleurs de l’hirondelle, mais aussi de ses Arrêts déplacés, les quatre récits d’inégale longueur qu’il nous offre ici fouillent dans les souvenirs d’un « tu » qui ne dévoile pas son identité, que l’on devine tout de même, des récits dont, la plupart du temps, l’action se déroule dans « le pays du parti unique » ou dans ce qu’il est devenu, et dont on devine aussi le nom…

    revue, autobiographie, francophone, suisse, roumanie,  le persil, marius daniel popescu, jean-pierre longre « Promotion d’un pion » évoque le travail d’été d’un étudiant en sylviculture qui, pour gagner de l’argent, s’est fait engager pour trois mois au « Bureau de Tourisme pour la Jeunesse », accueillant des vacanciers venus visiter la belle ville de l’Église Noire entourée de montagnes et cherchant, pour une somme modique, à loger dans un foyer d’étudiants. Nous sommes au temps du « parti unique », des petites et grandes compromissions, de l’appauvrissement du peuple : « La crise du pays transforme les individus en marchands de corruption, les denrées alimentaires de base sont devenues monnaie d’échange et objet de favoritisme. » C’est le règne des petits chefs auxquels « tu » résiste obstinément, se voyant agir comme s’il était spectateur de lui-même : « Tu vis une sorte de pièce de théâtre dans laquelle tu as le rôle de réceptionniste d’un hôtel minable, tu t’entends parler ». Le récit se termine par une aventure désopilante aux limites du tragique, comme la Roumanie de naguère en avait le secret.

    Dénouement d’un humour aussi surprenant pour le récit suivant, qui commence pourtant d’une manière dramatique, puisque le « parti unique » a décidé de détruire la maison du grand-père, qui demande à son petit-fils de l’aider à déménager ses meubles – ce qui se fera avec l’aide clandestine d’un oncle et d’un ami chauffeur : « Cet homme faisait souvent des transports illégaux, il était de mèche avec des policiers du parti unique, le pays était devenu un pays au noir. » Mais où entreposer les meubles ? C’est à ce propos que le même « tu » trouve une idée à la fois pratique, drôle et poétique, à l’occasion de Noël. Le lecteur découvrira ce garde-meubles original.

    Le troisième texte, dont l’action se déroule après la chute du « parti unique », est paradoxalement le plus triste, puisqu’il relate la mort soudaine d’un ami survenue dans le « Musée d’Art de la Ville » : « Tu le connais depuis tes études universitaires en sylviculture, tu le connaissais depuis trente-six ans. Il n’a pas pu se faire opérer, dans ton pays de là-bas les médecins demandent des pots de vin pour des bricoles et pour des choses importantes ». Mais c’est l’occasion de quelques réflexions sur la mort (« La mort a une faiblesse, elle nous unit, elle est toujours embarrassée par les liens qu’elle crée entre nous »), sur l’amitié et sur la complicité rieuse – car au-delà de l’idée de la mort, le rire bien arrosé ponctue la vie et même la littérature : allusion au « persil » (plante ou journal littéraire) : « Les bières, elles étaient pour ta soif, il fallait que le persil soit arrosé régulièrement. » Malgré cela, malgré les blagues et les facéties, l’ami « est parti dans l’au-delà ».

    Dans le quatrième texte, très bref, nous revenons dans « le pays d’ici », celui où vit maintenant l’auteur, avec une belle histoire de solidarité et de générosité. Et c’est une confirmation de ce qui court, en filigrane ou en clair, tout au long de la prose de Marius Daniel Popescu : la générosité, humaine et verbale (les deux vont ensemble). Les descriptions précises, le soin mis à entrer dans le détail des gestes, des objets, des relations humaines, le souci de tout dire, d’emplir la page de mots précis relèvent de l’intérêt pour les autres et du désintéressement fertile qui président aux publications – périodiques ou livresques – de l’auteur, ainsi que de l’ardeur existentielle : « La vie nous offre plein de mauvaises surprises, il faut survivre à tout, il faut toujours être capable de partir de zéro. »

    Jean-Pierre Longre

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    Le persil journal, Marius Daniel Popescu, avenue de Floréal 16, 1008 Prilly, Suisse.

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  • La constance du Persil

    revue, le persil, francophone, suisse, roumanie, Camelia Iuliana Radu, marius daniel popescu, jean-pierre longreLe Persil n° 169-170-171, avril 2020

    Ce nouveau numéro du Persil se termine par un beau et long poème de Camelia Iuliana Radu, traduit du roumain par Angela Nache Mamier – un poème qui fait littéralement apparaître une « desaparecida », Lisbonne la disparue, la mystérieuse, l’inconnue, et reconnaître la « beauté oubliée ».

    Auparavant, plusieurs auteurs de Suisse romande sont à l’honneur, avec des écrits en prose et en vers, nouvelles, poèmes, instantanés textuels, fragments, journal médical… Les auteurs : Isaac Pante, Florence Grivel, Jean-Yves Dubath, Valérie Ivanović, Victor Louis Joyet, Douna Loup, Pierre Fankhauser, Pierre Yves Lador, David Collin. Tons et styles divers, sujets variés, et bien sûr la qualité constante d’un « journal inédit » qui nous réserve toujours le meilleur.

    Jean-Pierre Longre

     

    Le persil journal, Marius Daniel Popescu, avenue de Floréal 16, 1008 Prilly, Suisse.

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  • « Le persil appelle au travail »

    Le Persil n° 165, juillet 2019

    revue, le persil, francophone, suisse, roumanie, marius daniel popescu, Jean-Pierre LongrePour une fois, en déployant les ailes du Persil (drôle d’image, pourtant appelée par l’envergure des pages de ce journal hors normes), les lecteurs y trouvent uniquement du Marius Daniel Popescu. Et il n’y a pas de quoi se plaindre. Auteur hors normes lui aussi, il nous sert en apéritif et en dessert des souvenirs forestiers, dans lesquels le réalisme et la poésie font bon ménage. Les premiers rappellent des scènes vécues dans la jeunesse : « Tu devais travailler comme tout le monde pour le parti unique, il ne fallait pas devenir un parasite de la société. ». Plus tard, « tu feuillettes les forêts de ta mémoire », qui font remonter maintes images. Car « une forêt est une sorte d’immense jardin qui donne de la vie à la vie ».

    En double plat de résistance, le récit d’une rencontre avec Patrick, un drôle de poète SDF, qui a fui la France pour demander l’asile politique à la Suisse… Et, en séquences alternées, l’histoire d’une « comédienne à la Fabrique de douleurs », qui suit les instructions d’un inconnu : « Racontez-vous à vous-même, dites-vous les histoires qui font la dentelle de vos jours et de vos nuits. » ; ce qui entraîne d’étranges aventures, ainsi que des monologues débridés, des jeux et des danses avec les lettres et les mots : « Femme sous les mots, je respire folie je marche labyrinthe je parle une langue qui parle toutes les langues. Femme au-dessus des mots, je vous emmerde. J’ai appris l’explosion. De mes poumons. De mes neurones. ».

    revue, le persil, francophone, suisse, roumanie, marius daniel popescu, Jean-Pierre LongreEt voilà la grande affaire : les mots, qui vivent et qui donnent la vie, qui ont leur « territoire de chasse ». Le festin proposé par Marius Daniel Popescu se termine, en guise de digestif, par une série de courts poèmes tels qu’il en a le secret, au centre desquels trône justement le mot « MOT », qui donne des rendez-vous à ses congénères. « Ensemble, ils forment de petits groupes », et notre auteur, narrateur et poète tout uniment, a le don de les aider dans leurs démarches – ce qui nous permet de lire des images belles et surprenantes, telle celle-ci, prise au hasard : « La dame âgée d’en face était une feuille morte encore attachée à la branche de son thé. ». La forêt, la vie… Vraiment, si comme il l’écrit dans l’un de ses poèmes, « le persil appelle au travail », la récolte est une réussite absolue.

    Jean-Pierre Longre

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  • Récolte de printemps

    Le Persil, numéro triple 162-163-164, mars 2019revue, Le Persil, francophone, suisse, roumanie, marius daniel popescu, jean-pierre longre

    Dans le premier texte, « Lire, demain ? » Marc Atallah est chargé de nous parler de la « littérature du futur ». Ce faisant, c’est la littérature de toujours qui devient l’objet de son propos, et c’est tant mieux. Le meilleur remède à la « consommation outrancière profondément individualiste », à la « communication cacophonique », au « libéralisme carnassier » et à la solitude qui en découle ? Les livres !

    Les 48 pages grand format de cette nouvelle livraison du fidèle Persil de Marius Daniel Popescu en sont un roboratif témoignage. Extraits, poèmes, nouvelles de Marc Agron, Antonio Albanese, Léa Farine, Thierry Luterbacher, Béatrice Monnard, Julien Mages, Maurice Meillard, Christine Rossier, Gilles de Montmollin témoignent de la vigueur et de l’épanouissement de la littérature de Suisse romande. Et les deux nouvelles de « l’invité » qui closent l’ensemble prouvent que, dans le domaine littéraire au moins, la Suisse, la Roumanie et la France font un excellent ménage à trois.

    Jean-Pierre Longre

     

    "Journal inédit, le persil est à la fois parole et silence ; ce numéro triple contient des textes inédits d’auteurs de Suisse romande et deux nouvelles de notre invité, Jean-Pierre Longre"

    Le persil journal, Marius Daniel Popescu, avenue de Floréal 16, 1008 Prilly, Suisse.

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  • Sauces linguistiques variées pour Le Persil

    Revue, francophone, Suisse, germanophone, Roumanie, Le Persil, Robert Şerban, Marius Daniel Popescu, Jean-Pierre LongreJournal Le Persil n° 138 à 143, 2017

    Deux triples livraisons du maintenant fameux journal littéraire font la part belle au plurilinguisme. Le numéro 138-139-140 (été 2017) présente des textes en prose et en vers d’auteurs de Suisse romande inaugurés par une belle « Lettre » de Catherine Safonoff, et se termine avec « l’invité », le poète roumain Robert Şerban (né en 1970 à Turnu Severin). On doit à Benoît-Joseph Courvoisier d’avoir traduit plusieurs poèmes en français (il semble d’ailleurs que cela n’avait jamais été fait; il était donc temps...). Citons pour l’exemple celui qui clôt cette anthologie, « Action de grâce », et qui, espérons-le, promet une suite :

                                          « Seigneur comme il est bon

                                          que tu demeures là-haut

                                          pour toujours

                                          afin que je puisse m’accrocher

                                          à Toi

                                          de temps en temps ».

    Le numéro 141-142-143 (novembre 2017) est « un échange avec la revue orte : onze poètes germanophones traduits en français par Christian Viredaz sont publiés dans le persil, alors qu’orte publie des traductions allemandes de plusieurs auteurs du persil. ». L’internationale poétique serait-elle toujours vivante ? Le Persil et ses contributeurs tendent à le prouver !

                                          « Il est une lumière dans la nuit

                                          Qui veille tant que nous la cherchons ».

    (Erika Burkart, traduction de Marion Graf)

    Jean-Pierre Longre

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  • Depuis 12 ans…le persil

    Revue, francophone, Suisse, Roumanie, Marius Daniel Popescu, Jean-Pierre LongreLe persil, numéros 121 à 126, automne 2016  

    Sous la responsabilité inaltérable de Marius Daniel Popescu, le persil continue à s’épanouir sur des plates-bandes éditoriales de plus en plus larges, « parole et silence » confiés à des auteurs aussi divers que prometteurs. Coup sur coup, deux numéros triples d’une grande richesse.

    Numéros 121-122-123 (septembre 2016) : textes inédits, nouvelles, extraits de romans, poèmes de Louise Anne Bouchard, Ivan Farron, Marc Agron Ukaj, David Collin, Arthur Brügger, Michel Layaz, Françoise Matthey, Marie-José Imsand, Joseph Incardona, Isaac Pante, des « instantanés » de Marius Daniel Popescu lui-même et des vers de l’excellent poète Paul Vinicius traduits du roumain par Radu Bata et accompagnés d’une notice biographique. Un bref exemple, particulièrement adapté : « On ne mange pas la poésie / avec des couverts d’argent / elle se laisse grignoter / avec la main. ».

    Numéros 124-125-126 (octobre 2016) : livraison entièrement consacrée à François Rossel (1955-2015), poète et éditeur passionné à Lausanne. Des articles, des adresses en prose, des poèmes, des illustrations… Un bel hommage rendu par ses amis des Éditions Empreintes Alain Rochat et Olivier Beetschen, et par beaucoup d’autres personnes.

    Avec constance, brillamment, savoureusement, c’est de la vraie littérature que les lecteurs francophones doivent à la Roumanie et à la Suisse conjuguant leurs talents.

    Jean-Pierre Longre

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