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bogdan-alexandru stanescu

  • Quelques parutions récentes (septembre à novembre 2025)

    Mircea Cărtărescu, Laure Hinckel, Denoël, Bogdan-Alexandru Stanescu, Nicolas Cavaillès, Gallimard, Daniela Ratiu, Florica Courriol, Grasset, Cătălin Mihuleac, Marily Le Nir, Noir sur blanc, Mircea Eliade, Claude Levenson, L’Herne, Benjamin Fondane, Vera Gajiu, Non LieuMircea Cărtărescu, L'Aile gauche, Orbitor, traduit par Laure Hinckel, Denoël

    Présentation :

    « À Bucarest, dans les années 1960, le narrateur, nommé Mircea, crée de toutes pièces un pays imaginaire.

    Un monde de merveilles et de cauchemars, truffé de passages cachés, de tapisseries envoûtantes et de papillons prodigieux. Il nous entraîne dans un voyage mystique à travers son enfance, ses souvenirs d’hospitalisation à l’adolescence, la préhistoire de sa famille, un cirque itinérant, la police secrète, des armées de zombies, des pilotes de chasse américains, la scène jazz underground de La Nouvelle-Orléans et la mise en place du régime communiste.

    Cet univers kaléidoscopique, à la fois étrangement familier et radicalement nouveau, est une expérience dont le lecteur sort secoué et transformé.

    L’Aile gauche est le premier volume de la trilogie « Orbitor ». »

    www.denoel.fr

     

    Mircea Cărtărescu, Laure Hinckel, Denoël, Bogdan-Alexandru Stanescu, Nicolas Cavaillès, Gallimard, Daniela Ratiu, Florica Courriol, Grasset, Cătălin Mihuleac, Marily Le Nir, Noir sur blanc, Mircea Eliade, Claude Levenson, L’Herne, Benjamin Fondane, Vera Gajiu, Non LieuBogdan-Alexandru Stanescu, Abraxas, traduit par Nicolas Cavaillès, Gallimard

    Présentation :

    « Professeur d’histoire d’un naturel à la fois sombre et sentimental, Mihai Lucescu traverse une crise existentielle. Séparé de sa femme, il a quitté le foyer familial et vit seul sous les toits d’une vieille maison. Pour sortir de sa torpeur, il se livre à une longue introspection, excavant ses névroses, auscultant sa chute. Passionné par la mnémotechnie, cet art ancien qui associe un souvenir à un espace, il entreprend de bâtir un palais de mémoire. Dans cet édifice mental façonné à l’image d’un immeuble bucarestois, onze portes s’ouvrent sur autant d’anciens cinémas de la ville.
    Tour à tour spectateur et protagoniste des films projetés, Mihai revisite des scènes clefs de sa vie, tout en s’immergeant dans d’autres époques et dans des lieux aussi variés que Vienne, Paris ou New York. Scènes intimes fondatrices, figures de la diaspora roumaine, fragments d’un passé collectif ou d’époques à venir - les films défilent sans se ressembler. Seule la fascinante « Maison aux Lions » revient comme un refrain. C’est là, dans cette bâtisse presque organique, gardée par deux fauves de pierre, que régnait sa mère, artiste fantasque et écrasante dont il ne finira jamais de s’affranchir.
    Avec Abraxas, Bogdan-Alexandru Stanescu signe un roman virtuose de la mémoire et de l’enfance, de la perte et de la survivance, où se déploie une prose incisive, traversée d’arabesques visuelles et sensorielles. Une fresque intérieure vertigineuse dans laquelle se dessinent, avec une ingéniosité singulière, le mal et la mélancolie du monde, mais aussi une foi dans le pouvoir rédempteur de la littérature. »

    www.gallimard.fr

     

    Mircea Cărtărescu, Laure Hinckel, Denoël, Bogdan-Alexandru Stanescu, Nicolas Cavaillès, Gallimard, Daniela Ratiu, Florica Courriol, Grasset, Cătălin Mihuleac, Marily Le Nir, Noir sur blanc, Mircea Eliade, Claude Levenson, L’Herne, Benjamin Fondane, Vera Gajiu, Non LieuDaniela Ratiu, Un train pour la fin du monde, traduit par Florica Courriol, Grasset

    Présentation :

    « Fin des années 1940, au cœur des terres arides de la Moldavie. Un train pour la fin du monde nous plonge dans un quotidien où la famine, la sécheresse et l’occupation soviétique ont transformé la vie de Stefan, Saveta et leurs cinq enfants en un combat désespéré pour leur survie. Les rivières sont à sec, les puits taris, les villageois n’ont plus de quoi s’alimenter. Les cadavres jonchent les rues et les rumeurs de cannibalisme hantent tous les foyers.

    Dans ce décor apocalyptique, Stefan et sa fille aînée partent travailler sur un chantier dans une ville voisine afin de pouvoir acheter des billets de train, leur unique espoir d’échapper à cette terre condamnée. Pendant ce temps, Saveta reste au village avec les plus petits. Chaque jour ils subissent le rationnement, la peur des soldats russes et la menace d’un clan de charognards. Mais lorsque le moment de fuir approche et que la famille parvient enfin à monter à bord d’un «  train de la faim  », la peur ne s’évanouit pas aussi rapidement que leur maison et les biens qu’ils ont laissés derrière eux. Ce train, à la fois tunnel vers l’inconnu et microcosme du désespoir, transporte des âmes déracinées, des corps affamés, des soldats assoiffés de violence, et des espoirs plus que jamais fragiles. Dans ce monde où la mort rôde en permanence, chaque geste de tendresse, chaque miette de pain, devient alors un acte de résistance.

     Inspiré de l’histoire familiale de l’autrice – Daniela Ratiu est la petite-fille de Stefan et Saveta –, Un train pour la fin du monde est une fresque déchirante sur la survie et la résilience humaine, autant qu’un témoignage bouleversant sur la capacité à espérer. Un livre qui résonne avec la guerre actuelle en Ukraine, dont est originaire le grand-père de l’autrice. »

    www.grasset.fr

     

    Mircea Cărtărescu, Laure Hinckel, Denoël, Bogdan-Alexandru Stanescu, Nicolas Cavaillès, Gallimard, Daniela Ratiu, Florica Courriol, Grasset, Cătălin Mihuleac, Marily Le Nir, Noir sur blanc, Mircea Eliade, Claude Levenson, L’Herne, Benjamin Fondane, Vera Gajiu, Non LieuCătălin Mihuleac, Les Demoiselles de Fontaine, Traduit par Marily Le Nir, Noir sur blanc

    Présentation :

    « Avec Les Demoiselles de Fontaine, Cătălin Mihuleac a écrit le grand roman de la fraternité franco-roumaine, une histoire aussi poignante qu’irrésistiblement drôle. Il y retrace l’amitié entre un jeune officier français, Marcel Fontaine, et un étudiant roumain, Petru Negru, qui est amoureux de la culture populaire de son pays… et de la fille du consul de France à Iaşi. À travers le destin de ces deux hommes de passion, c’est toute l’histoire de la Roumanie au XXe siècle qui nous apparaît avec ses couleurs les plus sombres, mais aussi la magie des cœurs simples et l’humour des jeteurs de sorts.

    Membre de la Mission Berthelot censée moderniser une armée roumaine « excellemment désorganisée », Fontaine s’éprend de ce pays déchiré entre francophilie et russification. À la fin du conflit, il y revient pour intégrer la Mission universitaire et, pendant trente ans, il y enseignera le français, avant d’être expulsé par les autorités communistes en 1949. Ses anciennes élèves, les « demoiselles de Fontaine », seront victimes d’atroces persécutions pour espionnage, tandis que Negru, s’efforçant de s’adapter au système, comprendra que « la verticalité morale est la position la plus acrobatique du Kâmasûtra de l’intellectuel ». »

    www.leseditionsnoirsurblanc.fr

     

    Mircea Cărtărescu, Laure Hinckel, Denoël, Bogdan-Alexandru Stanescu, Nicolas Cavaillès, Gallimard, Daniela Ratiu, Florica Courriol, Grasset, Cătălin Mihuleac, Marily Le Nir, Noir sur blanc, Mircea Eliade, Claude Levenson, L’Herne, Benjamin Fondane, Vera Gajiu, Non LieuMircea Eliade, Mademoiselle Christina, Traduit par Claude Levenson, L’Herne

    Présentation :

    « Une famille isolée au bord du Danube subit l’influence maléfique d’une ancêtre disparue. Mademoiselle Christina hante les chambres des occupants, vampire à l’apparence séductrice, elle charme Egor et enlève petit à petit toute vie dans la demeure austère. Sous la lumière blafarde de la lune, les ombres trahissent la présence d’un autre monde, effrayant, celui des âmes damnées. Entre deux soupirs de Sanda, jeune fille exsangue, un silence de mort s’installe dans le récit. Egor trouvera-t-il la force de lutter contre l’enchanteresse Christina ? La jeune Simina, possédée par le mal, semble en douter.

    Mademoiselle Christina nous vient tout droit du folklore roumain. Une histoire de vampires dans un monde en proie au blasphème ; pour l’exorciser, un jeune homme tue deux fois le vampire en lui transperçant le cœur. Le dialogue entre le monde des morts et celui des vivants n’est pas éphémère. Les deux camps se livrent un siège sans merci, à ceci près que les belligérants se disputent non des fortunes mais des âmes, et que leurs armes ne sont pas des armes classiques, mais des rituels magiques.

    Ce titre a été publié dans la collection Roman en 2009. »

    www.editionsdelherne.com

     

    Mircea Cărtărescu, Laure Hinckel, Denoël, Bogdan-Alexandru Stanescu, Nicolas Cavaillès, Gallimard, Daniela Ratiu, Florica Courriol, Grasset, Cătălin Mihuleac, Marily Le Nir, Noir sur blanc, Mircea Eliade, Claude Levenson, L’Herne, Benjamin Fondane, Vera Gajiu, Non LieuBenjamin Fondane, Lettres à Marior, sous la direction de Vera Gajiu, Non Lieu

    Présentation :

    « Les Lettres à Marior viennent compléter les Correspondances familiales de Benjamin Fondane publiées récemment. Maria Rudich, dite Marior, est le grand amour de jeunesse de Fondane qui lui a dédié de nombreux poèmes. Elle a douze ans de plus que lui et, lorsqu’il la rencontre en 1919, elle est mariée et mère de quatre enfants. La relation ne sera pas aisée, mais passionnée, avec de multiples rebondissements.

    Peu de lettres de Marior ont été conservées — une rivale les aurait détruites — mais il en est un soixantaine de Fondane qui racontent une grande histoire d’amour, une éducation sentimentale. En outre elles constituent un riche témoignage sur les années bucarestoises de Fondane et ses activités multiples.

    La relation amoureuse prit fin au bout de trois ans, mais Fondane resta toute sa vie attachée à Marior, ce qui apparaît dans quelques lettres postérieures. 

    Benjamin Fondane, né à Iassy (Roumanie) en 1898, venu en France en 1924, mort à Auschwiz-Birkeneau en 1944, était poète, philosophe, essayiste, dramaturge et cinéaste. Ses livres sont publiés par les éditions Non Lieu : Ulysse, Titanic, L'Exode, Au temps du poème, Rimbaud le voyou, Théâtre complet, Rencontres avec Léon Chestov, Le Lundi existentiel, Faux Traité d’esthétique, Correspondances familiales..

    Vera Gajiu, chercheuse à l'Université de Ferrare, a soutenu une thèse sur les manuscrits de Benjamin Fondane (Universités de Vérone et Paris 8). Elle a déjà édité les Correspondances familiales de Fondane, en collaboration avec Michel Carassou. »

     

    L’Association Benjamin Fondane et les éditions Non Lieu viennent de publier le n° 12 de la revue Titanic, consacré en particulier à F. Brunea-Fox et à sa correspondance avec Fondane.


    www.editionsnonlieu.frhttp://www.editionsnonlieu.fr/spip.php?page=recherche&recherche=Titanic